1re étape (3 mars) : Les Mureaux (158km)
La première étape se déroulera aux alentours des Mureaux, en maintenant l'esprit des éditions précédentes avec un parcours comprenant une boucle de 100 km, suivie d'une seconde moitié plus courte et d'une ascension finale en faux plat. Deux montées significatives seront à gravir à deux reprises, la dernière se trouvant à 12 km de l'arrivée.
2e étape (4 mars) : Thoiry - Montargis (179km)
La deuxième étape de Thoiry à Montargis peut provoquer des échappées en cas de rafales de vent, d'autant plus que les changements de direction du parcours favorisent cette possibilité. Toutefois, l'arrivée en ligne droite est également parfaite pour les sprinteurs.
3e étape (5 mars) : Auxerre (26.9km)
La contre-la-montre par équipes innovant, introduit l'année dernière, a fait l'unanimité et sera de nouveau organisé autour d'Auxerre. Cette fois-ci, le parcours sera plus court (26,9 km) et présentera un relief plus vallonné, en particulier vers la fin. Ces caractéristiques devraient entraîner des confrontations tactiques intéressantes, notamment parce que le temps sera de nouveau pris sur le premier coureur.
4e étape (6 mars) : Chalon-sur-Saône - Mont Brouilly (183km)
Le Mont Brouilly, empêché d'accueillir la course en 2016 à cause de la neige, sera escaladé à deux reprises lors de la troisième étape éprouvante, offrant un dénivelé positif de 3 300 mètres. À une vingtaine de kilomètres de l'arrivée, le col du Fut d'Avenas devrait également stimuler les cyclistes ambitieux.
5e étape (7 mars) : Saint-Sauveur-De-Montagut - Sisteron (193.5km)
Le lendemain, dans l'étape en direction de Sisteron, réputée comme étant la porte de la Provence et un rendez-vous régulier de la Course au Soleil, les sprinteurs auront une deuxième opportunité de briller. La boucle finale de cette étape sera raccourcie, offrant une arrivée large et parfaite pour les coureurs spécialistes des sprints.
6e étape (8 mars) : Sisteron - La Colle-sur-Loup (198.5km)
La Colle-sur-Loup, qui n'a pas pu accueillir son étape en 2023 en raison de vents violents et changeants, offrira le vendredi un terrain propice aux attaquants. Après un départ de Sisteron et 70 km de plat, les routes sinueuses seront jalonnées de montées, offrant aux coureurs audacieux l'opportunité de tenter leur chance, notamment dans le final, parsemé de pentes raides.
7e étape (9 mars) : Nice - Auron (173km)
Pendant le week-end final, l'étape principale du samedi donnera aux coureurs un aperçu du Tour de France. Comme en juillet, les cyclistes affronteront la montée de la Colmiane avant de se diriger vers Isola 2000, mais cette fois-ci ils bifurqueront vers Auron. Là, la station de ski leur proposera une ascension régulière de plus de 7 km avec des passages atteignant 9% de pente. Bien que cette montée soit nouvelle, elle s'annonce néanmoins déterminante.
8e étape (10 mars) : Nice (109.5km)
L'étape du dimanche emprunte en partie le parcours du contre-la-montre final du Tour de France 2024, notamment avec une montée courte au Col d'Èze. Une nouveauté intéressante est ajoutée : la descente vers Nice après le passage du chemin du Vinaigrier est considérablement raccourcie, de sorte que la fin de l'ascension se situe à seulement 9 km de l'arrivée sur la Promenade des Anglais. Tout retard accumulé au sommet sera difficile à combler.
Le 1er Mars 2024
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