








Puis des odeurs pénétrantes également, olfactives cette fois : les foins fraîchement coupés le long desquels on passe doucement pour s’inhaler de ce bonheur simple et primitif de saison (souvenirs de démangeaisons chez Fréd qui goûte moins cet instant et accélère…) et pour parachever le tout : les couleurs des champs de coquelicots
qui transpercent nos rétines pour aller directement dialoguer avec des subtilités embusquées dans notre cerveau, nous rappelant que le devoir premier d’un être humain est de savoir respecter les beautés qui nous sont offertes, d’y goûter sans restriction pour activer les hormones bienfaisantes et de laisser la nature opérer ses cycles -presque- éternels. Les contrastes, les ajouts, les complémentarités sont des joyaux qui, tels des panneaux routiers, nous indiquent la voie que devraient emprunter les humains.





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